La composition échiquéenne
        Divers



Les choix de rédaction et de présentation

Généralités

  • Cet ouvrage ne s’adresse pas seulement aux spécialistes. Ils n’y trouveront que des données auparavant éparses ; c’est un aide-mémoire. Les explications pourront paraître longues et les redites sont nombreuses, car on s’adresse aussi aux débutants et la recherche de l’économie d’espace n’est pas une priorité sur l’Internet.
  • Les énoncés des problèmes peuvent être incompréhensibles s’ils sont donnés sous forme abrégée ou à l’aide de symboles. Ils seront donc, très souvent, écrits en toutes lettres ainsi que sous forme de symboles. On évite ainsi de rebuter les lecteurs néophytes.

Choix typographiques

  • Majuscules pour certains mots comme les noms de pièces, le nom des camps, des genres, etc.
  • Pas de tiret pour certains composés : rétrocoup, rétropat, rétroanalyse et même rétroopposition.

Vocabulaire

  • Certains auteurs réservent le terme de « pièce » aux seules figures. Ici, les Pions et les figures sont appelées « pièces » ou « unités ».
  • On ne dira pas qu’un Pion se promeut, mais qu’il est promu (par le Roi vraisemblablement).

Pour la rétroanalyse

  • Voir Notation des coups pour les « coups joués en arrière ».
  • Pour désigner les pièces présentes au début de la partie, on utilise l’étoile. Le Fou du Roi noir d’origine est noté *Ff8.
  • À côté de l’échiquier, une boîte est parfois présente dans les diagrammes. Elle contient, selon les cas, les pièces capturées qui ont été capturées depuis le début de la partie, des pièces pouvant être parachutées...





Ouvrage créé et géré à l'aide de SPIP, logiciel libre distribué sous Licence publique générale GNU (GNU GPL). Origine des images des pièces du jeu d'échecs et des échiquiers (Wikimedia Commons). D’autres informations : Echekk.