Les coups de capture sont modifiés.
La pièce capturée ne disparaît pas de l’échiquier, mais renaît quand c’est possible. Les modalités de renaissance sont différentes de celles des échecs Circé classiques.
La renaissance a lieu sur la case qu’occupait la pièce capturée au moment de la capture. Sans autre élément féerique, il existe un seul cas où la pièce capturée renaît : c’est la prise en passant. La case d’arrivée de la pièce qui capture est différente de celle où se trouve la pièce capturée au moment de la capture.
La définition de cette variante des échecs Circé est donnée par Jacques Dupin dans la revue Rex Multiplex (numéro 18 page 624 d’avril-juin 1986) dans le commentaire de la solution d’un problème de Ferenc Istokovics (inédit numéro 507 du numéro 15-16 de juillet-décembre 1985, page 543, avec la condition échecs fantômes) : « Il est un type Circé qui n’a peut-être pas encore été inventé : c’est celui où la pièce capturée renaît sur la case qu’elle occupe au moment de la capture ! On pourrait parler de “Circé ibidem”. En jeu normal, seul renaît un Pion pris en passant. Mais les féeristes verront qu’il y a quelques réapparitions avec des Locustes, des pièces Kamikazes, etc. On constate d’autre part qu’il y a équivalence entre Circé ibidem volcanique à pièces réapparues taboues et échecs Fantômes ; le monde est petit. »