Les conventions adoptées dans cet ouvrage pour l’orientation de l’échiquier représenté sur les diagrammes et la notation des coups, sont celles qui sont adoptées presque universellement. La case d’origine de la Tour-dame blanche (a1) est en bas et à gauche. La notation des coups est la notation dite algébrique.
De même qu’ils jouent le premier coup d’une partie, les Blancs ont généralement le beau rôle dans un problème : ils gagnent.
Des conventions propres à la composition seront exposées et expliquées dans des sujets comme « roque » et « prise en passant ».
Les règles du jeu (lien vers Wikipédia en langue française) ne sont pas rappelées ici. Quand une position d’échecs est donnée et que rien n’est précisé dans l’énoncé au sujet des règles, c’est que l’on applique les règles du jeu d’échecs occidental, sans aucune modification. On est dans le domaine des échecs orthodoxes.
Quand elles sont modifiées, on entre dans le domaine des échecs féeriques ou hétérodoxes, et cela est bien sûr signalé. À moins que l’auteur du problème n’ait délibérément omis de le faire. Mais on entre alors peut-être dans le domaine du canular...