Il y a en général deux camps, les Blancs et les Noirs. Les rapports entre ces deux camps peuvent changer. Les pièces neutres ou les pièces semi-neutres constituent de nouveaux groupes.
La capture peut être modifiée.
Par exemple, les coups de capture disparaissent dans les échecs sans prises. Ils concernent des groupes différents de pièces dans les échecs Cannibales, les échecs de Kiev... Ils s'accompagnent de changement de couleur dans les échecs d'Andernach...
Les genres où la capture est suivie d'une renaissance sont nombreux. Ils figurent dans le sous-chapitre « Circé ».
Plusieurs pièces semblent être empilées les unes sur les autres. Une ou plusieurs pièces seront placées sous la case et réapparaîtront une par une au départ de la pièce de surface.
Pour classer les pièces dans certains genres féeriques, on reprend souvent l’ordre des pièces établi selon leurs valeurs dans le jeu orthodoxe, appelé « hiérarchie ».
Certaines propriétés (de pièces, de cases) peuvent présenter des analogies avec celles que l'on rencontre dans le domaine du magnétisme (par exemple, l'attraction ou la répulsion).
Un coup peut faire changer la nature d'une ou de plusieurs pièces. Aux échecs orthodoxes, un coup peut transformer une pièce : c'est la promotion du Pion.
Un Pion peut-il occuper certaines des cases des première et dernière traverses de l'échiquier ? Si oui, pourra-t-il jouer depuis cette case ? Et si oui, quels coups pourra-t-il jouer ?